Important : Il convient de faire preuve de circonspection vis-à-vis de certaines pièces pouvant tromper la confiance de l’acheteur potentiel. Présentées comme étant issues d’une édition limitée n’existant pas réellement, ou bien couplant soit un disque original et une pochette de fabrication artisanale soit un disque original et une pochette originale fraichement découpée à la manière de celles qui servaient de PLV à l'époque, elles n’entrent pas dans le champ d’étude de Virtua Beatles Music.

vendredi 27 août 2010

Zoom sur le 45T Parlophon-Carisch QMSP 16346: "Please Please Me"

C'est le 12/11/1963 qu'a été publié le 45T simple "Please Please Me / Ask Me Why" (QMSP 16346), le premier de la discographie originale italienne des Beatles sous le label Parlophon-Carish. La complexité de son histoire vous est explicitée au fil de cette nouvelle vitrine. Les toutes premières copies de ce disque étaient pressées en Angleterre (label Parlophone noir) et simplement glissées dans une pochette générique Parlophon-Carisch:


Elle sera suivie peu de temps après par une pochette illustrée que voici:


A noter deux caractéristiques importantes au recto: la référence est placée en dessous du nom du groupe, tandis que les titres sont au niveau du buste de George Harrison. Cette pochette finira par ne plus avoir les faveurs de la maison de disques qui la fera remplacer par celle-ci, dont le recto restera le même pour toutes les variantes et éditions suivantes qui vous seront détaillées plus bas:


Sur ce nouveau recto, la référence est passée au dessus du nom du groupe et les titres ont été imprimés plus bas que précédemment, au niveau de la taille de George. Le verso a également été corrigé. Notamment, les âges de chacun des quatre Beatles, présents au départ dans les notes biographiques, ont été supprimés. Six autres variantes sont connues pour le verso de la pochette. Les voici dans l'ordre:  

Types 4 et 5
Types 6 et 7
Types 8 et 9   
 
- Merci à Massimo Masini pour sa précieuse collaboration à cet article - 
 
Collection et photos: Massimo Masini 

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